Fantasme et desirs d’une amie (partie 1)

Fantasme et desirs d’une amie (partie 1)“Chérie, mes amis viennent demain soir à la maison” m’annonça Dany, mon mari en sirotant son café après notre diner. « C’est sympa, que prévois tu ? »« Notre soirée poker »« Ah non Dany, tu sais que je n’aime pas trop Marc, je n’ai pas envie de le voir chez nous »« Mais ma chérie, tu sais que j’adore les narguer avec ta beauté « me dit mon mari. Depuis notre mariage ses amis étaient jaloux de lui. Marc était le plus explicite, à chaque occasion qu’il avait, il me tripotait, me coinçait dans la cuisine pour passer sa main sur mes fesses, dans le couloir d’une maison pour se frotter, en passant, sur ma poitrine. Je le détestais surtout depuis notre dernière soirée ou, en fin de soirée, tous un peu éméché, il m’attrapa dans le jardin de nos amis et il me coinça contre un arbre. « Tu es belle Emma, j’ai envie de toi »« Mais arrête Marc, tu es fou, laisse-moi »Il passa sa main le long de mon corps et essaya de passer sous ma robe, vers mon sexe. Je le repoussais et la-il me regarda avec un air dur et me dit tout bas mais avec beaucoup de dureté : »tu verras salope, je te baiserais un jour et tu en bahis firmaları redemanderas »« Ok, mais moi je ne veux pas les voir » lui répondit-je en me remémorant cette scène que j’avais cachée de mon mari. Au moment des faits, il était saoul et je voulais éviter de foutre la merde entre notre groupe d’ami.« Oh ma chérie, j’ai tant envie de te voir dans ta belle robe noire devant eux »« Tu sais mon Dany, tous les trois sont friands de mon corps et ça me mets mal à l’aise » « Mais si Emma, allez, fait le pour moi. Je suis si fier de ta sensualité, si fier que tu es mienne »On se mit d’accord que je serais la pour leur servir l’apéritif et que je pourrais m’en aller quand j’en avais envie.Cette nuit-là, nous fîmes l’amour sauvagement. Mon mari était plein de désir et laissait son imaginaire voyager dans un scenario érotique. Il me baisait en me demandant : »ta chatte est à qui ? » « Qui est le seul à te baiser ? » Et ainsi de suite. Au moment de jouir, il m’aspergea le visage de son foutre chaud en criant, »tu es a moi, tu es ma femme, ma salope, ma catin », « demain, je ne veux pas que tu portes de culotte, je veux les rendre fous kaçak iddaa avec ta chatte a ces connards »Apres une nuit réparatrice passée dans les bras de mon chéri je me levais pour me préparer pour la soirée poker chez nous. Une fois la table dressée pour nos quatre joueurs, les amuse-gueule prêts et les apéritifs prêts, je m’occupais de moi. Long bain langoureux, épilation de mon corps, je laissais coquinement un peu de poils courts le long de ma fente, me disant que si je croisais les jambes, ils pourront tous deviner que je ne portais rien en dessous de ma robe noire sexy.Juste avant l’arrivée de nos invites, mon mari me demanda de lui montrer mon choix vestimentaire et je lui dis, taquine : »tu verras en même temps que tes amis, tu as voulu que je m’habille sexy ! »Je filais dans ma chambre et mit ma petite robe noire, rien en dessous, sauf une paire de bas échancrée au niveau de l’entre-jambe et portais mes talons hauts. Un peu de maquillage et je me regardais dans la glace. « Waw ! Sexy ! » C’était la seule idée que j’avais en tête. Je l’avoue maintenant, toute la journée, ma chatte était trempée, a l’idée de taquiner ce pauvre kaçak bahis Laurent, mon ami d’enfance qui était toujours amoureux de moi, depuis le jour où je l’ai connu à l’école. Souvent au lycée et par la suite, je le taquinais, le laissait penser qu’un jour il y aura quelque chose entre nous. Tout ce que j’avais fait est qu’apres une boum, une fois, je l’avais suce dans la voiture de son pere. Jusqu’au moment où j’ai épouse Dany, je laissais faire mais maintenant lui continuais à voler des regards amoureux vers moi tandis que je l’ignorais. Je pensais aussi à Jean-Christophe, le mari de mon amie. Lui c’est quelque chose, un grand mec baraque, sûr de lui, charmeur mais je savais par mon amie qu’il était toujours en train de la convaincre d’un peu de libertinage dans leur couple. Elle pensait même qu’il fréquentait les clubs échangismes accompagne d’autre femmes. Elle m’avait aussi dit en toute confidence qu’elle refusait la sodomie, pratique que j’aime bien en douceur de temps à autre et que son mari était frustre de ne pouvoir l’enculer. Et au fond de moi, j’étais aussi excitée a l’idée de narguer ce salaud de Marc, me venger de lui et de ses propos de l’autre nuit. Cela me faisait mouiller à l’idée de le faire bander tout en sachant que j’étais chez moi avec mon mari et qu’il n’oserait pas aller plus loin que balader ses yeux sur mon corps.