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Mamie Louise 04

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Mamie Louise 04La gorge nouée par l’anxiété, du fait de la discussion qu’elle s’apprêtait à avoir avec son petit-fils, Louise entreprit de gravir l’escalier de bois qui permettait l’accès au grenier à foin. Elle se devait d’avoir une explication avec l’adolescent. Il fallait qu’elle tente de justifier ses agissements et surtout qu’elle convainque l’adolescent de garder pour lui ce à quoi il venait d’assister.Parvenant au grenier, Louise découvrit Jérémy assis, tête baissée sur ses genoux repliés, comme s’il ne voulait pas la regarder. Sans un mot, elle s’approcha de lui et s’installa à ses côtés.— C’est donc là que tu viens t’isoler, constata-t-elle doucement ?Comme Jérémy refusait de lui répondre, Louise tendrement lui passa la main dans ses cheveux, pour retirer quelques brins de paille.— Je me doute bien que ce que tu as vu a dû te perturber, continua-t-elle d’une voix qu’elle essaya de rendre la plus douce possible… Mais je ne voudrais pas que tu me juges trop vite… Tu es maintenant suffisamment adulte pour entendre ce que j’ai à te dire…Après un moment de silence pendant lequel Louise s’encouragea, elle reprit :— Tu dois être au courant que certaines personnes ont un besoin sexuel plus intense que d’autres… Toi-même, je suis certaine que le sexe te travaille fréquemment… Je me trompe ?Jérémy, qui s’attendait à ce que sa grand-mère le sermonne sévèrement pour l’avoir épiée et l’avoir découverte dans une activité inconvenante, se trouva soudainement rassuré par le ton employé par cette dernière. Soudainement tranquillisé, il retrouva son assurance et par la même, l’usage de la parole :— Heu, oui…Légèrement soulagée, Louise continua, assurant sa défense.— Eh quand tu as très envie, tu dois te br… te soulager ?Bizarrement, Louise s’aperçut qu’elle n’arrivait pas avec son petit-fils à s’exprimer avec les mêmes mots qu’elle employait avec son amant, et même avec son mari lors de leurs rares relations sexuelles.Comme sa grand-mère semblait attendre une réponse, Jérémy se sentit forcé d’avouer :— Heu oui…— Et bien moi, je suis comme toi tu sais… Malgré mon âge… Tu dois penser que les « vieux » n’ont plus de besoins sexuels, qu’ils n’ont plus de rapports amoureux… C’est faux ; certains, et c’est mon cas, ont encore des exigences, alors que ton grand-père de son côté n’en éprouve pratiquement plus… J’ai besoin lorsque je ressens ces envies d’avoir des rapports comme toi tu as besoin de te… masturber, c’est comme ça que l’on dit ?Particulièrement gêné, Jérémy d’une voix assourdi acquiesça :— Ouuii— Si tu m’as vu avec M. Louvin, continua Louise, c’est parce que ton grand-père ne peut malheureusement me contenter sexuellement… Il n’y a rien de sérieux entre nous. J’aime trop ton grand-père malgré nos petits problèmes dus à l’âge…Louise se tut, laissant le silence s’installer pour que Jérémy s’imprègne de ses confidences. Après quelques minutes où aucun des deux ne prononça la moindre parole, Louise décida de reprendre ses explications.— Tu as compris ce que je t’ai expliqué, mon chéri ?— Ouu… oui, Mamie.— Tu ne voudrais pas faire de peine à ton Papi, n’est-ce pas ?— Oh non !— Alors il ne faudra surtout pas lui dire ce que tu as vu !… Tu es d’accord ?— Ouu… Oui, je ne lui dirais rien, acquiesça Jérémy, décidant de prendre parti pour sa chère Mamie… Je te le promets !— C’est bien mon chéri, tu es un amour… Ce sera notre secret…Rassurée sur le silence de son petit-fils au sujet de ses frasques amoureuses, Louise débarrassée de son anxiété attira Jérémy à elle pour l’embrasser affectueusement tout en lui caressant tendrement les cheveux.Les deux complices demeurèrent ainsi tendrement enlacés un long moment, chacun songeant à ce qu’il venait de vivre. Momentanément apaisée par ses jouissances consécutives, Louise se remémora avec émotion les voluptueux moments passés en compagnie de son jeune amant.Jérémy, la tête posée contre l’épaule de sa grand-mère, l’esprit rempli des visions des ébats amoureux de celle-ci, éprouvait une sournoise excitation à humer le parfum épicé qui sourdait du corps qui venait de connaître le plaisir. Excitation qui ne fit que s’intensifier soudainement, lorsque baissant les yeux, il découvrit une cuisse dénudée. L’un des pans de la blouse, dont le dernier bouton n’était pas accroché, avait glissé le long de la jambe que Louise avait repliée, dénudant une cuisse pulpeuse à l’aspect velouté. Fixant avec émotion cette chair à l’apparence moelleuse, Jérémy sentit sa gorge se nouer, tandis que dans son slip sa virilité, qui s’était quelque peu ramollie lorsque Louise l’avait interpellé, se redressait inexorablement. Un désir insensé s’empara de lui : pouvoir toucher cette cuisse affolante qui s’offrait à sa vue… Laisser courir ses doigts le long de cette chair à l’aspect si soyeuse, remonter jusqu’à la fourche des deux cuisses où se trouvait ce sexe féminin qui le faisait tant fantasmer. Sachant que sa grand-mère ne portait pas de culotte pour protéger son intimité, ne fit qu’accentuer le trouble sexuel de Jérémy. Mais, comme si sa grand-mère s’était rendu compte de sa tenue inconvenante, elle se pencha afin de remettre sa blouse en place. Jérémy ne put faire autrement que plonger son regard dans l’échancrure relâchée de la blouse. La vision des deux masses de chair séparées l’une de l’autre par un étroit sillon fit qu’accroître encore son excitation. Certes, il avait, quelques instants auparavant, pu contempler à loisir les appas de sa grand-mère, lorsque celle-ci s’offrait impudiquement à son amant ; mais cela güvenilir bahis s’était passé à plusieurs mètres de lui, alors que présentement les merveilleux seins lui apparaissaient à quelques centimètres. Les deux globes étrangement blancs par rapport au haut de la poitrine bronzée, avaient un effet autrement érotique.Quelque peu comblée sexuellement par les orgasmes successifs que lui avait fait connaître Julien et rassuré sur le silence de Jérémy, Louise se laissa envahir par cette douce béatitude engendrée par ses précédentes jouissances. Mais alors qu’elle serrait tendrement son petit-fils contre elle, heureuse de sentir sa tête contre son épaule, celui-ci décida de changer de position. Sans pour autant quitter l’épaule accueillante, il se contorsionna afin d’étendre ses jambes. Toute à sa torpeur sensuelle, Louise le regarda faire avec attendrissement, heureuse de ce moment de communion.— Tu es bien, mon chéri, quémanda-t-elle affectueusement ?Mais en même temps qu’elle posait sa question, son regard accrocha par hasard l’éloquente protubérance qui déformait le short de Jérémy. Cette découverte ne l’étonna qu’à moitié : le spectacle qu’à son insu elle avait offert à son petit-fils n’avait pu que perturber sexuellement l’adolescent qu’était Jérémy. A son âge songea-t-elle, ses sens prompts à s’émouvoir avaient évidemment déclenché chez lui une montée de désir… Ne pouvant détacher son regard de la preuve de l’excitation qu’éprouvait Jérémy, Louise réalisa soudain que l’érection qu’elle venait de découvrir était le résultat du spectacle auquel il avait assisté. Avec émoi, elle prit conscience qu’elle était responsable de l’état dans lequel se trouvait son petit-fils. Le souvenir de ce qu’elle avait découvert le matin même lui revint en mémoire : alors qu’ils se trouvaient seuls au petit déjeuner, Jérémy et elle, celui-ci avait précipitamment quitté la cuisine, une bosse significative déformant son pantalon de pyjama.L’esprit encore brouillé par les instants d’intenses jouissances qu’elle venait de connaître, Louise prit une décision que seule la torpeur sensuelle qui l’habitait encore pouvait lui avoir soufflée. Puisque Jérémy était tellement perturbé à cause du spectacle qu’elle lui avait offert, certes à son insu, elle se devait de le soulager ; comme elle le soignait étant enfant, lorsqu’il revenait avec le coude ou le genou écorché…Sa décision prise, Louise décida de la mettre en pratique, inconsciente de ce que son projet avait de pervers, d’i****tueux même. Dans un geste naturel, comme elle l’aurait fait pour amadouer une de ces chevrettes, elle posa délicatement sa main droite sur la cuisse nue de Jérémy. Au contact de la chair nue de l’adolescent, elle ressentit une onde de plaisir équivoque. Dans un souffle, elle murmura :— Je peux te poser une question, mon chéri ?— Oui, mamie, s’empressa d’acquiescer Jérémy, dont le contact des doigts en une caresse éthérée sur sa cuisse nue venait de lui procurer une douce exaltation.— Qu’est-ce que tu as ressentie lorsque tu nous as découvert Julien et moi, en train de… de… enfin tu me comprends !Décidément, ces mots qu’elle employait naturellement avec son amant ne parvenaient pas à sortir de sa bouche lorsqu’elle s’adressait à son petit-fils.— En train de faire l’amour, répondit Jérémy, nullement gêné d’appeler un chat un chat.Surprise par lucidité de son petit-fils, Louise demeura un moment sans voix. Mais désirant coute que coute mener son projet à bien, elle continua :— Oui quand tu nous as vus… faire l’amour !… Qu’est-ce que tu as éprouvé ?Ne sachant que répondre à la question terriblement indiscrète que sa grand-mère lui posait, Jérémy se contenta de bégayer :— Ben… Heeuuu…Comprenant que Jérémy ne se livrerait pas aussi facilement, Louise décida de prendre l’initiative. Doucement, comme pour ne pas effaroucher son « bébé », elle entreprit de laisser courir sa main le long de la cuisse nue, dans une caresse de plus en plus prononcée.— Ça t’a excité de me voir faire l’amour, demanda-t-elle d’une voix mielleuse ?Affreusement gêné par la question de sa grand-mère, Jérémy demeura un long moment silencieux avant de reconnaître dans un souffle :— Ou… ouuii…Louise ressentit un immense bonheur. Jérémy se libérait peu à peu, elle allait atteindre son but.— C’est vrai mon chéri ?… Ça t’a vraiment excité ?… Continua-t-elle en frôlant nonchalamment la braguette du short, de ses doigts.Ce simple effleurement sur la bosse que faisait son membre gonflé provoqua chez Jérémy une poussée de désir. Dans un gémissement où se mêlaient plaisir et impatience sexuelle, il poussa son bas-ventre au-devant de la main ensorcelante, comme pour l’inciter à affiner son attouchement.Bien que faible, le tressaillement qui agita Jérémy suite à son effleurement n’échappa pas à Louise. Cette réaction ne fit que la conforter dans son projet érotique. Jugeant son petit-fils suffisamment excité, elle se décida alors à mettre son plan à exécution. Incapable de juger sainement ce que son comportement avait de pervers, d’i****tueux même, elle referma ses doigts sur la protubérance qui boursouflait le devant du short.— Hum ! Qu’est-ce que tu caches là ? Demanda-t-elle sur le ton de la plaisanterie, afin de ne pas effaroucher Jérémy encore sur la défensive… Comme Jérémy, l’air terriblement gêné, demeurait muet, la fixant interrogateur, Louise continua ses perverses palpations :— Comme tu es dur, murmura-t-elle d’une voix où se mêlaient tendresse et émotion.Prise à son propre jeu, Louise ressentit türkçe bahis un suave plaisir à presser la forme allongée du jeune sexe en érection. Tâtant délicatement les contours de la virilité qu’elle devinait, elle s’étonna devant la grosseur de l’objet qu’elle palpait. Il était impossible qu’à son âge, Jérémy puisse avoir un membre d’une telle grosseur, songea-t-elle ou alors, il avait été particulièrement gâté par la nature. Comme prise de doute, voulant s’assurer de la réalité de ses attouchements, Louise palpa plus fermement l’étonnante protubérance.Lorsque les doigts de sa grand-mère vinrent, à travers son short, frôler son sexe en érection, Jérémy ressentit une telle montée de désir qu’il lui sembla qu’il n’allait pouvoir empêcher sa verge d’exploser. Dans un geste de pudeur vis-à-vis de sa grand-mère, et surtout afin d’empêcher cette dernière de l’amener à jouir sous ses attouchements, Jérémy posa sa main sur la main qui risquait de le faire décharger dans son slip : ce qu’il redoutait :— Noonn, Mamie, réussit-il à bredouiller…— Qu’est-ce qu’il t’arrive, mon chéri ?… Je sens que tu as une grosse envie !… C’est à cause de ce que tu as vu ?Que pouvait répondre Jérémy à ce genre de question ; évidemment que le spectacle auquel il avait assisté avait fait naître en lui ce formidable désir, d’où cette érection gênante. Ce n’était certes pas courant de surprendre sa grand-mère, entièrement nue, et en train de faire l’amour avec un étranger. C’était surtout les postures terriblement obscènes que cette dernière avait adoptées, qui avait porté son excitation à son comble. Sa grand-mère avait exécuté une chorégraphie amoureuse d’une indécence inimaginable. Joint à cela, les encouragements en termes extrêmement crus qu’elle avait dispensés à son amant, elle qui d’habitude était d’une correction exemplaire, avaient fini d’échauffer les sens de Jérémy.Ne pouvant avouer à sa grand-mère qu’elle était en effet responsable de son émoi sexuel, Jérémy ne réussit qu’à bafouiller :— Heeuuu…Cependant, palper la forme oblongue et gonflée qui déformait outrageusement le short de Jérémy ne fit qu’accentuer chez Louise ce désir irraisonné qui la guidait. Qu’importe que l’adolescent qu’elle palpait vicieusement fût son petit-fils ; la lubricité qui s’était emparée d’elle lui faisait perdre toute décence, tout raisonnement. Une seule chose comptait ; sentir la douceur de la jeune verge contre sa paume, la sentir frémir dans sa main. Soudain impatiente, faisant fi des efforts de Jérémy pour tenter de stopper ses attouchements, elle pressa plus fermement la protubérance convoitée :— Mon pauvre chéri, minauda-t-elle d’une voix qu’elle essaya de rendre la plus sensuelle possible… Tu ne peux rester comme ça !… Tu veux que Mamie te soulage ?…Comme Jérémy ne répondait pas à sa demande, Louise insista :— Puisque c’est à cause de moi que tu es dans cet état, c’est normal que je calme cette grosse envie…La surprenante proposition que sa grand-mère lui proposait laissa Jérémy ébahi. Celle, qui le soir, seul dans son lit, le faisait tant fantasmer lui proposait tout simplement de le branler… La stupéfaction fut telle qu’il ressentit un choc émotionnel qui le statufia sur place. Il lui sembla que son bas-ventre devenait aussi dur que de la pierre, tandis que son cœur s’affolait subitement. Mais alors qu’il cherchait désespérément quel comportement tenir face à la déclaration que venait de lui faire sa grand-mère, celle-ci avait déjà dégrafé la ceinture de son short.Fébrile, Louise s’était attaquée à la fermeture éclair du short. Celle-ci complètement ouverte, elle écarta le vêtement dégrafé. Le cœur battant, la gorge nouée par l’émotion, elle contempla un instant la bosse qui déformait le slip blanc, tentant de s’imaginer le jeune membre viril qui s’y cachait. La forme allongée qu’elle devinait correspondait aux contours qu’elle avait palpés quelques minutes plus tôt. Mais l’impatience érotique la gagnant, elle crocheta l’élastique du slip qu’elle tira vers le bas, dénudant le jeune sexe tendu.Libérée du vêtement qui la protégeait, la verge, tel un diablotin jaillissant de sa boite, se redressa raide et orgueilleuse. Bien que s’attendant à ce qu’elle allait découvrir, Louise n’en resta pas moins ébahie. L’organe sexuel qui s’offrait à sa vue était tel qu’elle l’avait pressenti, lorsqu’elle l’avait palpé en aveugle. D’une longueur normale pour un adolescent de quinze ans, la bite érigée présentait par contre une grosseur étonnante. Etonnée de cette particularité, Louise tenta de faire une comparaison avec le membre de son amant qui l’avait pourfendu une demi-heure auparavant. Il lui sembla que la verge de Jérémy qu’elle fixait, égalait en volume celle de Julien pourtant beaucoup plus âgé.Ne pouvant résister plus longtemps, Louise referma sa main autour de la queue dressée et au gland largement décalotté. Immédiatement, la douceur de la chair, jointe à la fermeté de l’organe sexuel, lui procura un sentiment de bonheur. Si lors de ces moments intimes avec Julien seul la sexualité comptait ; avec Jérémy, alors qu’elle tenait en main sa bitte bandée, elle n’éprouvait que tendresse et amour. Ce qu’elle s’apprêtait à faire n’était pas causé par un désir sexuel quelconque, tentait-elle de se convaincre, mais simplement par affection pour ce petit-fils qu’elle adorait. Par sa faute, Jérémy éprouvait un problème érotique : aussi, en grand-mère aimante, elle se devait de lui venir en aide. Aussi, c’est avec beaucoup de douceur qu’elle entreprit de faire coulisser güvenilir bahis siteleri ses doigts refermés autour de la colonne de chair, tout en fixant, attentive, la minuscule ouverture du méat, d’où allait jaillir la semence intime de son ado de petit-fils.Lorsque la main de sa grand-mère se referma autour de sa verge raidie, Jérémy, dont l’excitation était à son comble, ressentit comme une décharge électrique dans tout le bas-ventre. C’était la première fois qu’il éprouvait une telle sensation. Mais dès que les doigts qui pressaient son membre viril commencèrent à coulisser de haut en bas et inversement, dans une masturbation extrêmement douce, mais aussi terriblement excitante, Jérémy s’affola. Le désir qu’il découvrait était par trop intense. Affolé, il sentit qu’il ne pourrait retenir la jouissance qui lui crispait le bas-ventre et qu’il sentait sur le point de jaillir. Une pensée fulgurante lui traversa l’esprit : il ne pouvait décharger ainsi dans la main de sa grand-mère. Dans un geste d’ultime défense, il se saisit du poignet de cette dernière afin de l’immobiliser.Quand les doigts de Jérémy se refermèrent sur son poignet, Louise comprit immédiatement les craintes de son petit-fils. A voir son visage tourmenté par l’effort qu’il faisait, elle sut que ce dernier était au bord de la jouissance, et qu’il tentait désespérément de retenir celle-ci. Cessant alors sa masturbation, mais sans pour autant lâcher la jeune bite, elle décida de jouer l’innocente :— Qu’est-ce qu’il y a mon chéri ?… Tu n’aimes pas ma façon de te… branler, continua-t-elle, réussissant à employer les termes qu’elle réservait à Julien, son amant… Je ne le fais pas comme il faut ?…— Hheeuu si, réussit à répondre Jérémy pris au dépourvu par les questions de sa grand-mère. Amusée intérieurement par la confusion de son petit-fils, Louise continua, tentant de réconforter ce dernier :— Tu ne veux pas que je continue ?… Laisse-moi faire, tu seras mieux après…Fixant avec émoi le gland cramoisi d’où, tels des geysers, jailliraient les salves de sperme, Louise perçut une inconvenante chaleur se propager dans ses entrailles. Surprise de constater qu’elle pouvait ressentir une certaine excitation à branler son petit-fils, elle tenta de chasser ce malaise érotique déplacé. Cependant, comme animée d’une volonté propre, sa main reprit son mouvement de va-et-vient un instant stoppé par Jérémy, le long de la bite érigée.D’abord surpris par la soudaine augmentation de cadence que sa grand-mère apportait à sa masturbation, Jérémy ressentit une montée foudroyante de plaisir. Incapable de résister, il cessa de lutter. Relâchant les muscles de son bas-ventre, il s’abandonna alors à l’orgasme qui le cambra spasmodiquement. Dans un grognement inhumain, il tenta quand même de prévenir sa grand-mère :— Rrhhaaa, Mamiiieee !…. Rrrhhhoooo…Avant même que Jérémy tente de l’avertir de l’imminence de sa jouissance, Louise l’avait pressentie en percevant le frémissement de la verge entre ses doigts. Elle avait aussitôt fixé la minuscule ouverture du gland, guettant le jaillissement du liquide séminal. Lorsque le premier jet blanchâtre fusa, décrivant une courbe avant de lui retomber sur le poignet, elle en éprouva un véritable bonheur. Les giclées de sperme se succédèrent à un rythme rapide, jaillissant par saccades de moins en moins vigoureuses, lui souillant la main et le poignet d’un liquide gras et blanchâtre. Fixant cette liqueur visqueuse qui lui maculait les doigts, Louise dut faire un effort de volonté pour ne pas les porter à sa bouche et goûter à ce sperme liquoreux.Lorsque le bourgeon de chair eut craché ses dernières salves, Louise refoulant l’envie qu’elle avait de le prendre dans sa bouche pour le nettoyer, comme elle en avait l’habitude avec son amant, se contenta de l’essuyer avec le bas de sa blouse. Puis se nettoyant avec regret la main avec une poignée de foin, elle demanda :—Ça va mieux mon chéri ?… C’était bon ?…— Oh ! Oui, s’empressa d’acquiescer Jérémy, soudain plein de tendresse pour sa grand-mère.Dans un élan d’amour, il se jeta dans les bras de celle qui venait de lui faire connaître sa première réelle jouissance.Attendrie par ce geste d’affection, Louise se laissa emporter par l’émotion. Pressant le visage de Jérémy contre sa poitrine, elle passa sa main dans ses cheveux dans une affectueuse caresse.— C’est vrai que tu as aimé, questionna-t-elle, attendrie ? … C’était aussi bon que lorsque tu le fais toi-même, continua-t-elle, emportée par un étrange sentiment pervers ?Complètement acquis à sa grand-mère, qui venait de lui prodiguer un plaisir d’une intensité encore jamais atteinte lors de ses masturbations solitaires, Jérémy s’exprima cette fois sans aucune crainte.— Oh oui !Après un moment de silence passé à méditer, une pensée subite traversa l’esprit de Louise. Le cœur battant elle pressa plus fortement la tête de Jérémy contre sa poitrine, comme pour échapper au regard de ce dernier. Ce qu’elle allait lui annoncer la perturbait considérablement, mais il fallait qu’elle lui en fasse part. L’éjaculation qu’elle avait déclenchée lui avait procuré un plaisir manifeste. Les effets qu’elle en avait ressentis au sein de ses organes avaient été si délicieux, qu’elle mourrait d’envie de les retrouver.— Tu sais, murmura-t-elle d’une voix presque inaudible, comme si elle avait honte de ce qu’elle allait demander… Si jamais tu avais de nouveau envie comme tout à l’heure… Tu… Tu pourrais venir me voir… Je pourrais te soulager… Tu aimerais ?…— C’est vrai, Mamie, s’exclama Jérémy éberlué !— Mais oui, mon chéri… Mais ça doit rester entre nous… Il vaut mieux que ton grand-père ne sache rien… Ce sera notre secret. Tu me le promets ?— Oh oui, Mamie… Je te le jure !…A suivre…..

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